L'Atelier Shambala est le fruit de longues années de quête. Il n'est pas un aboutissement mais une partie de mon chemin. Je suis heureuse de vous y accueillir depuis de nombreuses années. Il porte le nom d'"atelier" parce que j'y travaille avec mes mains. Mais pas que...

 

Tout au début, il y a eu la rencontre, fortuite, avec Stéphane Cardinaux. Un simple rendez-vous de curiosité à l'idée qu'il puisse  "lire" qui je suis en mesurant des choses invisibles à mes yeux. J'étais très circonspecte. Mais j'ai été bluffée par son approche, puis par son talent et effectivement stupéfaite de toutes les informations qu'il a pu découvrir de moi. A l'issue de la rencontre, sur le pas de sa porte, il m'a soufflé que j'avais "quelque chose" dans mes mains. Ignorante parmi les ignorantes, j'ai cherché. Ma quête a duré des années. Elle m'a éveillée à la lumière, elle m'a ouverte, elle m'a permis des rencontres capitales.

 

Très vite, il y a eu le reiki. Il m'a appris à écouter la douleur, à guider une forme d'énergie pour soulager. J'ai patiemment guidé mes mains et franchi les différents niveaux jusqu'à la maîtrise.

 

Ensuite, mes pas m'ont conduite à la médiumnité où, durant des années, j'ai suivi des formations à l'Arthur Findlay College à Standsted et à Hanovre avec d'inestimables professeurs (Paul Jacobs, John Johnson, Janet Parker, Sandie Baker entre autres). La médiumnité m'a conduite à la transe-guérison avec des professeurs tels que Bill Thomson ou Jackie Wright. Par la suite, ma curiosité insatiable m'a poussée à suivre une formation en géobiologie et une autre en soins énergétiques (notamment avec Francine Rhéaume à Montréal).

 

Enfin, mes mains parlaient et me racontaient ce qu'elles percevaient des êtres. L'intuition et la médiumnité complétaient le tableau avec des images et des émotions : je ressentais et voyais. Un peu comme Stéphane Cardinaux. La boucle était bouclée.